ANTRES
PAULINE WEIDMANN - Maison l’Enracinée
Salle des fêtes / Martres-Tolosane
WEEK-END CAMPAGNE
Propos
Quatre interprètes issu·e·s de la musique, de la parole et des arts visuels s’emparent des puissances de la danse pour former un « nous » chorégraphique et turbulent.
« Antres » comme un autre nom possible pour dire « maisons », des abris où l’identité se fabrique toujours main dans la main avec l’altérité, corps et âme.
Dans la proximité intime d’un chœur, il·elle·s mettent en commun quelques bouts de ficelles, pour avancer pas à pas sur un territoire mutuel entre accords et désaccords, traversé par la mémoire profonde et vivace des chants et des danses traditionnels de leurs territoires distincts.
Distribution
Création et interprétation : Pauline Weidmann, Maxime Canelli, Anna Duval Guennoc, Solenn Caroff
Technique lumière : Christophe Cardoën
Genre : Danse musique
Public : À partir de 7 ans
Durée : 50 minutes
Tarif pass deux spectacles avec closure 09/11 : 18€ / 16€ / 10€
Tarif 09/11 : 10€ / 8€ / 5€
Coproducteurs
En partenariat avec l’Espace culturel Angonia-Ville de Martres-Tolosane
Mise en scène collective invitée par Pauline Weidmann, avec Maxime Canelli, Anna Duval Guennoc, Solenn Caroff.
Création lumière : Christophe Cardoën et Mariane Moula.
Contributrice : Estelle Bellemin.
Passant·e·s : Loïc Touzé, Armelle Dousset, Anne Koppé, Lucie Lintanf, Carole Perdereau
Production : L’Enracinée
Soutien : Chorège CDCN Falaise Normandie, La Métive, Moutier d’Ahun ; Les Bazis ; UPCP Métive à Parthenay ; Honolulu Nantes ; Centre Régional des Musiques Traditionnelle en Limousin ; Opéra de Limoges ; Région Pays de la Loire ; Département Loire-Atlantique ; Ville de Nantes.
Parcours
Pauline Weidmann est vocaliste et autrice, dans son chant, elle parle et parle de parole. Dans un jeu au présent, aux ressorts du son et du discours, elle écrit des pièces entre voix parlée, gestée et racontée. Situer le chant dans un paysage, dans une fiction de tradition, dans un ici partout se fait au travers de ses pièces entre du grave et du drôle, s’y tisse un fil trouble et tenu qui vibre et dit la déterritorialisation de nos langues.